Un procédé d’usinage peut être défini par :
- le mode de génération de surfaces utilisé
- la cinématique des mouvements mise en jeu.
* Mode de génération
La génération est l’ensemble des combinaisons des données géométriques permettant l’obtention de surfaces usinées.
Généralement, lors d’usinages traditionnels, on retient les combinaisons suivantes :
- Droite <=> point
* Droite <=> droite
* Droite <=> plan
Ces données géométriques sont matérialisées sur les machines-outils par deux éléments
- les guidages
- l’outil lui-même. Selon les éléments retenus pour les matérialiser, on détermine deux modes de génération des surfaces.
* Travail de forme
L’un des éléments est matérialisé par l’outil ou par une partie de l’outil.
Exemple : génération d’un plan par déplacement d’une droite sur une autre droite.
* Travail d’enveloppe
L’un des éléments est généré par la trajectoire d’un point de l’outil.
Exemple : génération d’un cylindre par la rotation d’une droite (engendrée par la translation d’un point de l’outil) autour d’un axe fixe.
* Cinématique
La génération de surfaces implique une liaison entre les mouvements afin de coordonner les vitesses et les trajectoires.
Une chaîne cinématique doit donc exister pour chaque procédé d’usinage, ce qui permet de réguler les mouvements les uns par rapport aux autres.
On définit ainsi une liaison entre deux mouvements :
- le mouvement de coupe Mc
- le mouvement d’avance Ma.
Les exemples ci-dessous montrent les applications industrielles en fonction des mouvements possibles des outils et des pièces.
Il est possible d’associer d’autres mouvements et de définir d’autres principes d’usinage comme le perçage par exemple ou les deux mouvements Mc et Ma sont liés à l’outil.
Certaines machines-outils ont une chaîne cinématique plus complexe qui leur permet d’assurer plusieurs Mc et plusieurs Ma comme les rectifieuses planétaires par exemple. Pour permettre un même repérage de ces trajectoires, chez tous les constructeurs, tous les mouvements sont repérés dans un référentiel d’axes.
- le mode de génération de surfaces utilisé
- la cinématique des mouvements mise en jeu.
* Mode de génération
La génération est l’ensemble des combinaisons des données géométriques permettant l’obtention de surfaces usinées.
Généralement, lors d’usinages traditionnels, on retient les combinaisons suivantes :
- Droite <=> point
* Droite <=> droite
* Droite <=> plan
Ces données géométriques sont matérialisées sur les machines-outils par deux éléments
- les guidages
- l’outil lui-même. Selon les éléments retenus pour les matérialiser, on détermine deux modes de génération des surfaces.
* Travail de forme
L’un des éléments est matérialisé par l’outil ou par une partie de l’outil.
Exemple : génération d’un plan par déplacement d’une droite sur une autre droite.
* Travail d’enveloppe
L’un des éléments est généré par la trajectoire d’un point de l’outil.
Exemple : génération d’un cylindre par la rotation d’une droite (engendrée par la translation d’un point de l’outil) autour d’un axe fixe.
* Cinématique
La génération de surfaces implique une liaison entre les mouvements afin de coordonner les vitesses et les trajectoires.
Une chaîne cinématique doit donc exister pour chaque procédé d’usinage, ce qui permet de réguler les mouvements les uns par rapport aux autres.
On définit ainsi une liaison entre deux mouvements :
- le mouvement de coupe Mc
- le mouvement d’avance Ma.
Les exemples ci-dessous montrent les applications industrielles en fonction des mouvements possibles des outils et des pièces.
Il est possible d’associer d’autres mouvements et de définir d’autres principes d’usinage comme le perçage par exemple ou les deux mouvements Mc et Ma sont liés à l’outil.
Certaines machines-outils ont une chaîne cinématique plus complexe qui leur permet d’assurer plusieurs Mc et plusieurs Ma comme les rectifieuses planétaires par exemple. Pour permettre un même repérage de ces trajectoires, chez tous les constructeurs, tous les mouvements sont repérés dans un référentiel d’axes.
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