Les accouplements sont des dispositifs qui assurent la liaison entre l’arbre moteur et l’arbre d’une machine, ce qui permet de transmettre la puissance du moteur à la machine concernée.
Dans cette fonction
— ils offrent la possibilité de dissocier les deux arbres lorsqu’il est nécessaire;
— ils tolèrent les petits défauts d’alignement dus au déplacement des matériels en service.
Types d’accouplements
Accouplements mécaniques
Ces accouplements possèdent un caractère commun la transmission de la puissance se fait à travers la troisième pièce, en caoutchouc ou en métal, qui relie physiquement les moyeux des deux arbres.
Accouplement à mâchoires
Un accouplement à mâchoires comporte une pièce intermédiaire en caoutchouc moulé entre les deux moyeux qui sont attachés respectivement à l’arbre moteur et à l’arbre récepteur. La pièce intermédiaire en caoutchouc donne à l’accouplement la flexibilité dont il a besoin pour tolérer les petits défauts d’alignement.
Accouplement flexacier
Ce type d’accouplement possède une armature métallique dite flexacier » qui serpente entre les dents des deux moyeux et les attache. Les anneaux d’étanchéité sont montés sur les moyeux. Tous les éléments se montent entre les demi-enveloppes dont l’étanchéité est assurée par des joints.
Accouplement à pignons
Un accouplement à pignons comporte des moyeux et des anneaux d’étanchéité. Et c’est le manchon denté qui transmet la puissance d’un moyeu à l’autre. Ce type d’accouplement ne possède pas de joint, mais deux bagues de retenue, une à chaque extrémité du manchon.
Accouplement hydraulique
La puissance est transmise par le mouvement d’un fluide, de l’huile habituellement. Le moyeu de l’arbre moteur communique au fluide un mouvement tourbillonnant et le force contre le moyeu de l’arbre récepteur. Le mouvement de rotation est ainsi transmis à l’arbre de la machine (figure 4.3).
Accouplement magnétique
I.es anneaux métalliques sont fixés sur l’arbre récepteur. Les anneaux et les aimants sont en face les uns des autres. Lorsque l’arbre moteur tourne, les anneaux entraînent par la force magnétique ics aimants. L’arbre récepteur est alors en mouvement de rotation (figure 4.4).
Dans cette fonction
— ils offrent la possibilité de dissocier les deux arbres lorsqu’il est nécessaire;
— ils tolèrent les petits défauts d’alignement dus au déplacement des matériels en service.
Types d’accouplements
Accouplements mécaniques
Ces accouplements possèdent un caractère commun la transmission de la puissance se fait à travers la troisième pièce, en caoutchouc ou en métal, qui relie physiquement les moyeux des deux arbres.
Accouplement à mâchoires
Un accouplement à mâchoires comporte une pièce intermédiaire en caoutchouc moulé entre les deux moyeux qui sont attachés respectivement à l’arbre moteur et à l’arbre récepteur. La pièce intermédiaire en caoutchouc donne à l’accouplement la flexibilité dont il a besoin pour tolérer les petits défauts d’alignement.
Accouplement flexacier
Ce type d’accouplement possède une armature métallique dite flexacier » qui serpente entre les dents des deux moyeux et les attache. Les anneaux d’étanchéité sont montés sur les moyeux. Tous les éléments se montent entre les demi-enveloppes dont l’étanchéité est assurée par des joints.
Accouplement à pignons
Un accouplement à pignons comporte des moyeux et des anneaux d’étanchéité. Et c’est le manchon denté qui transmet la puissance d’un moyeu à l’autre. Ce type d’accouplement ne possède pas de joint, mais deux bagues de retenue, une à chaque extrémité du manchon.
Accouplement hydraulique
La puissance est transmise par le mouvement d’un fluide, de l’huile habituellement. Le moyeu de l’arbre moteur communique au fluide un mouvement tourbillonnant et le force contre le moyeu de l’arbre récepteur. Le mouvement de rotation est ainsi transmis à l’arbre de la machine (figure 4.3).
Accouplement magnétique
I.es anneaux métalliques sont fixés sur l’arbre récepteur. Les anneaux et les aimants sont en face les uns des autres. Lorsque l’arbre moteur tourne, les anneaux entraînent par la force magnétique ics aimants. L’arbre récepteur est alors en mouvement de rotation (figure 4.4).
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